Denis Olivennes ne fera pas main basse sur le Monde comme il a pu le faire sur le Nouvel Observateur. Il le dit lui-même dans son édito du 1er juillet 2010 : trop sarkozyste.
"Les rumeurs du « Monde »"
Son regret, la non prise en compte de l’histoire du Nouvel Obs (qui n’était pas seul partenaire dans sa proposition de reprise) :
« Une vie d'engagement sans faille à gauche, quarante-cinq ans d'indépendance orgueilleuse et jalouse de « l'Obs » : notre histoire parle pour nous. »
Mais Denis Olivennes ne se pose pas la vraie question : sous sa direction, le Nouvel Obs peut-il encore revendiquer un engagement à gauche ? D’autres ont répondu semble-t-il par la négative.
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 04 juillet à 11:50
le passé de Denis Olivennes lui colle à la peau