Le corps borde l’âme (Carole Darricarrère)

Par Arbrealettres


Le corps borde l’âme.
Il est fidèle à ses propres rêves.
Ainsi le souvenir d’une volupté,
est encore une volupté.
Le corps n’oublie jamais.

Oublier, c’est trahir.

(Carole Darricarrère)


Illustration: Arnold Böcklin