Le corps borde l’âme.
Il est fidèle à ses propres rêves.
Ainsi le souvenir d’une volupté,
est encore une volupté.
Le corps n’oublie jamais.
Oublier, c’est trahir.
(Carole Darricarrère)
Le corps borde l’âme.
Il est fidèle à ses propres rêves.
Ainsi le souvenir d’une volupté,
est encore une volupté.
Le corps n’oublie jamais.
Oublier, c’est trahir.
(Carole Darricarrère)