Ces institutions, pour vénérables qu’elles soient, interroge l’article, vaut-il vraiment le coût de continuer à les financer, alors que l’arrivée d’internet et de l’accès aux oeuvres par le biais numérique ne nécessite plus vraiment des structures d’accueil en dur. Mieux : cet argent pourrait être utilisé pour organiser des garderies scolaires pour les jeunes enfants et des tas d’autres choses vraisemblablement plus utiles à la communauté.
Dans l’Illinois, on compte 799 bibliothèques et le public emprunte 88 millions… et pour ne presque pas le dire, voilà de l’argent allégrement jeté par les fenêtres, si l’on suit la logique de Fow News. En effet, Chicago injecte 120 millions $ par an dans ses établissements. Et 2,5 % des taxes foncières payées par les habitants servent à alimenter ce budget.
Et d’annoncer, avec preuve vidéo à l’appui, que leur enquête démontre un faible taux d’utilisation des établissements – ce qui, à quelques jours des vacances, pourrait sembler un peu risible comme attitude journalistique…
Mais dans tous les cas, le coup a frappé dur et l’article fait parler de lui. Surtout en contrebalançant les coûts et sommes investies, avec les recettes générées par les bibliothèques : 2 pauvres millions $ que Chicago reçoit, avec les amendes.
Triste monde…
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Rédigé par Cecile Mazin
Source : Actualitté