Je n'aime pas du tout la trace que tu laisse dans ma vie.
Je n'aime pas non plus tes rêves de hasard
Que je n'ose appeler cauchemars.
Je n'ai pas aimé tes cris de mépris
Cette violence, ce quotidien étouffement.
Ni cet air de folie qui a soufflé intensément
Sur ma paisible demeure et mon petit appartement
Ce jour de printemps
Moi je croyais que sous ton mauvais
Il y a toujours du bon qui par là traînait
Hélas ! Même en grattant
Les deux pieds et les deux mains dedans,
Chez toi il n'y a rien de bon tout es décadent
Je préfère la douceur d'aujourd'hui retrouvée
.
J'ai failli te haïr, mais le faire était rentré dans ta haine.
J’ai fermé toutes les portes qui à toi mènent.
Comme si tu étais le diable je t'ai fui
Que tu l'étais !j’en suis encore abasourdi.
Si j'écoutais la vilaine petite voix,
Je te souhaiterais du mal et je serais discourtois.
Je pense que dans l’inconscience tu y es en plein,
De plus sans que je ne fasse rien.
Quant à la mesure de tes sentiments
Bien sur les tiens sont très percutants
Puisqu’ils vont jusqu a l’étouffement
Et malgré cette forte répugnance
Qui pour toi je nourris pour la circonstance
Je t’invite à consulter un spécialiste de la démence
Afin de guérir ta pathologique ignorance
Qui pour moi tu entretien avec appétence
Otangerac