Merci Raymond. Tu es parti en martyr. Tes joueurs millionnaires t'ont pris pour un con. Tu es presque sympathique. Nicolas Sarkozy te remercie : faute d'avoir gagné la coupe du monde, tu a mis un nuage de fumée devant les cigares de Christian Blanc, l'hôtel de Rama Yade, les apparts d'Estrosi, la maison de Joyandet... Sans parler des subventions et des salaires de notre misérable île de la Réunion. Merci, Raymond. Tu peux partir en paix. Pour ta retraite, on ne s'inquiète pas. La pénibilité sera prise en compte.
François GILLET