Cette panique à droite traduit surtout la dure réalité d’un pouvoir qui refuse toute remise en question alors même qu’il commet d’inacceptables manquements à l’éthique républicaine.
Finalement, les réactions faussement indignées, surjouées et totalement disproportionnées (voire franchement déplacées dans le cadre d’un débat républicain) des élus UMP constituent un triste aveu du pouvoir quant à sa dérive clanique.