Lors du point presse, David Assouline a
évoqué l'attitude du gouvernement face à la mobilisation des derniers jours sur les retraites : «la carte du mépris ou de la désinvolture».
Selon David Assouline, «les organisations syndicales vont acter leur unité retrouvée dans les jours qui viennent», afin d'être plus nombreux à la rentrée et de faire mieux qu'en 2003, pour
contrer ce «défi du mépris».Le secrétaire national à la communication et à la mobilisation a rappelé l'engagement du Parti socialiste sur
cette question : «nous n'arrêtons pas de rencontrer des salariés, y compris des femmes», «dans notre contre-réforme, nous avons proposé des mesures qui ne négligent pas la
démographie».Enfin, le secrétaire national est revenu sur le thème de la non-pérennité à propos de la réforme des retraites
du gouvernement : «en misant avant tout sur l'augmentation de l'âge légal de départ, après 2018 il y aura un déficit énorme».