Par le son doux de la musique
Et la danse de l'âme dans tes sentiers
Tant de naïveté y régnait
Tant de générosité dans les sourires
Tant de paisibilité dans tes rues
Celles que je traversais
Pour rejoindre les bancs du savoir
Acheter chez l'épicier d'à côté les douceurs
C'était si bon d'y vivre dans mon quartier
Si paisible ou une vielle dame par son geste quotidien
A fait grandir en moi la générosité
Qu'on peut avoir même envers un chat
Frêle, elle sillonnait les rues de meissonnier
Déposait de son chariot à manger pour les chats de son quartier
Une image à ce jour qui ne s'est pas effacé malgré les années
Qui m'ont fait découvrir que la cruauté il fallait l'apprendre
Dés son jeune âge pour y faire face.
Que mon pays n'est pas fait pour les rêveurs
Pour ceux qui ont une âme adoucit par les douceurs