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Encore le beurre et l'écolo haineux!

Publié le 28 juin 2010 par Orlandoderudder

Salir la vie.

Bah, il faudrait un Rabelais, un Rimbaud, un Apollinaire, un Ungaretti, un Carl Sandburgh pour célébrer la poésie des supermarchés comme la plénitude de la consommation. Des gens généreux, aimant la vie, éloignés de l'esprit moche et sordide des bio-écolos. Des gens de vie, pas de mort, des gens de cultire, pas d'oubli... Ils ont sali notre vie.

Chez les pauvres.

J'étais à Auchan tout à l'heure. Et, tiens, je suis allé voir ce qu'on trouve comme beurre dans ce monde coloré, joyeux, encore plus divers et surprenant qu'un grand bazar d'Orient. Celui qui sait y voir, au lieu de trimlballer une mentlité négative et jocrisse de sous-adjudant-chef de sa propre vie, s'émerveille en ces lieux tout en sachant, bien sûr, et mieux qu'un écolo, le danger du monde libéral, aussi putride, il est vrai qu'un gouvernement à l'ancienne de pays à bazars et souks qui plaisent tant aux réacs avide de pittoresque du Sud et qui aiment passer leurs vacances chez les pauvres.  Faut dire que c'est moins cher!

Complaisance.

Pourquoi le beurre?Parce qu'il y a eu ce texte, qui semble sortir d'un journal d'extrême-droite des années 30: . http://dutron.wordpress.com/2010/02/19/vive-la-croissance-du-cul-de-la-fermiere-au-supermarche-tranche-de-vie/ Sauf qu'un Céline ou un satiriste antisémite aurait beaucoup mieux écrit. Mêml$e s'il y a, chez ces gens, pas mal de facilités et de complaisance. Mais pas autant que dans ce petit machin ignoble, réac quin rappelle l'origine collabo d'une grande partie des écolo français... Les écolos allemands étaient, eux, carrément nazis.

Luxe.

Alors voilà... J'ai vu toute sorte de beurres..Y compris des beurres d'apellation, fort chers. Ces beurres qu'utilisent les grands chefs et qui, autrefois, coûtaient encore plus cher et ne se trouvaient que dans les crèmeries de luxe, genre Bartélémy à Paris ou la Ferme Saint Hubert, le fromager Androuet  et j'en passe. Bref, le luxe du temps dont parle le texte réac enquestion était ce qui est aujourd'hui accessible à presque tous... tandis que d'autres beurres, honorables et même de très bonne qualité complètent le choix. Ces beurres d'apellation sont équilibrés, portent la marque gustative de leurs terroirs et nos beurres de ferme, surtout actuels et qui puent le tourteau ne peuvent pas s'aligner.

Incultes, malveillants, ignares.

L'ennui avec les écolos c'est leur manque de culture gastronomique qui se rapporte àl eur manque de culture générale. Ils ne mangent que de l'idéologie. Et sont analphabêtes de leurs propres vies comme ignares gustatifs. Car, comme pour connaître les vins,, sans langage prétentiard à la con,c onnaître bien les produits demande  un minimim de  culture, un savoir, une attention, une présence au monde et la faculté d'émerveillement...

Envoi (et morale!):  Il convient de vérifier toujours ce que dit ou écrit un écolo, surtout quand ils produit du sous-réac infra-célinien sub-audiardesque et se complet dans une autoproclamation de sagacité bourgeois bien confortable! Le vrai confort intellectuel se joint alors à la révolte de bon ton et produit d'imbéciles dégueulasserie pour cancrelats qui, faute de savoir rire, rigolent, ricanent et se marre, toujours malveillants comme des commères de village... Flics et curés! Ca pue la haine et le mépris.Vive l'amour!


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