Editeur : Buchet-Chastel - Date de parution : 02/09/2010 - 582 page très longues...
Julia accueille un été ses parents dan sa maison du Maine. Son père ancien neurochirurgien est imbu de sa personne, pédant, et désagréable, sa mère très gentille commence à montrer des signes d’Alzheimer. Divorcée, Julia s’entend on ne peut mieux avec son ex-mari. Elle apprend par la bouche de son fils ainé Steven que son fils cadet Jack se drogue. Les soupçons sont confirmés et Julia demande à son ex-mari et à Steven de ramener Jack dans le Maine. Tout s’écroule pour Julia quand elle apprend que son fils se drogue à l’héroïne. Elle s’oriente vers Ralp spécialiste de la désintoxication qui suggère une médiation. Elle va mobiliser toute sa famille et même sa sœur avec qui elle ne s’entend guère.
Les non dits, les blessures d’avant vont ressortir mais n’empêcheront pas Jack de continuer à se droguer. La honte, les regrets et la culpabilité seront au centre de l’été de cette famille de la bourgeoisie américaine.
Dans les envois Libfly de la rentrée littéraire, j’ai reçu ce livre concocté d’après une recette précise…
Prenez une histoire qui puisse être adaptée pour faire un film de télé. Délayez au maximum, délayez de tout cœur, rajouter de l’inutile, des longueurs pour obtenir enfin un livre de pratiquement 600 pages.
Certes, ça se lit facilement mais les personnages sont surfaits, l’histoire semble fausse. Les clichés se suivent et défilent au fil des pages.
Aussi, ce roman polyphonique m’a laissée complètement indifférente….