Led Zeppelin-Led Zeppelin II-1969

Led Zeppelin :

Robert Plant : chant

Jimmy Page : guitare

John Paul Jones : basse, claviers

John Bonham : batterie

Le 22 octobre 1969, sortie de "Led Zeppelin II" (#1 UK-#1 US), produit par Jimmy Page.

Whole lotta love (Led Zeppelin)

What is and what should never be (Page-Plant)

The lemon song (Led Zeppelin)

Thank you (Page-Plant)

Heartbreaker (Led Zeppelin)

Living loving maid (Page-Plant)

Ramble on (Page-Plant)

Moby Dick (Page-Jones-Bonham)

Bring it on home (Page-Plant)

Un album qui bat tous les records et vole la première place aux Beatles, numéro 1 avec  "Abbey Road" à l’époque.

C'est le début d'une nouvelle ère.

Cet album 100% électrique inaugure le début du hard-rock et va influencer plusieurs générations de métalleux.

Le groupe frappe fort avec des titres comme "Whole lotta love" sorti en single aux USA et qui atteindra la 4e place des hit parades, mais aussi "Heartbreaker", "Ramble on" ou l'excellent "Bring it on home". 

Jimmy Page maîtrise la science du riff comme peu de guitaristes avant lui.

On trouve aussi sur cet album un solo de John Bonham "Moby Dick", et le très beau "Thank you".

Janvier 1970 : nouvelle tournée anglaise.

1er février 1970 : premier accident de voiture de Robert Plant qui est hospitalisé, et gardera une cicatrice au dessus de l'oeil.

Février, le groupe doit se produire à Copenhague, mais la Comtesse Eva Von Zeppelin leur interdit de se produire sous ce nom.

Ils donnent alors des concerts à Copenhague sous le nom de The Nobs, en l'honneur de Claude Nobs, l'organisateur du festival de Jazz de Montreux.

Mars-avril 1970 : nouvelle tournée américaine épuisante.

Mai : Page et Plant achètent un cottage au Pays De Galles, Bron-Y-Aur, et c'est dans une vieille grange pas très loin de ce cottage qu'ils vont enregistrer leur 3e album.

Juillet 1970 : tournée allemande puis en août, nouvelle tournée américaine.

Le 19 septembre, le groupe remplit pendants deux soirs le Madison Square Garden de New York. C'est la première fois (mais pas la dernière) que le groupe joue dans cette salle mythique.

© Pascal Schlaefli