Jacques Bompard, le maire d'Orange, en prend la présidence et est entouré au bureau exécutif par Ronald Perdomo, Michèle Carayon, Guy Macary et Dominique Michel comme vice-présidents, par Philippe de Beauregard comme secrétaire général et par Hubert Savon. Extrait de ses statuts :
" La Ligue du Sud se fixe pour objet la défense, la promotion et le développement des régions du Sud de la France, dans tous les domaines. A ce titre, elle participe aux débats politiques et électoraux dans les régions et les circonscriptions électorales du Sud de la France.
La Ligue du Sud inscrit son action dans le cadre des institutions républicaines. Régionale, mais pas régionaliste, la Ligue du Sud entend notamment préserver l'identité régionale, développer la prospérité économique et la qualité de la vie, renforcer la sécurité et la justice sociale dans les régions du Sud (...)
C'est peut-être l'occasion pour relire un article que j'avais rédigé en fin d'année dernière concernant la question du régionalisme au sein de la stratégie politique:
Le régionalisme comme stratégie de lutte contre la République anti-nationale