Libération a demandé au directeur artistique de la maison Chanel de relooker leur journal le temps d'un jour. Libération avait prévu en hausse le tirage ce jour là. Karl Lagerfeld a rhabillé la une mais a aussi donner son avis tout au long du journal et notamment dans une interview.
Voulant avoir un esprit professionnel auprès de vous lecteur, lectrices, j'ai voulu acheter un exemplaire de Libération. Je n'ai pu me diriger vers un kiosque un
journaux que vers 15 heure et déja plus aucun exemplaire disponibles.
Il faut dire que je suis à deux pas de le rue de Cambon, siège de chez Chanel, et que toute les personnes pour se faire bien voir dans les cafés et bars au alentour ,ont surement
pillé le kiosque à journaux.
Mais après deux autres kiosques, j'ai laissé tombé, à mon contre coeur.
La prochaine fois, je saurais, il faut courir dès 9 heure acheter son journal.
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Liberation asked the artistic director of Chanel makeover of their
newspaper on a day's time.Liberation had expected an increase of the draw that day. Karl
Lagerfeld dressed the front but also give advice throughout the paper and especially in an interview.
Wanting to have a professional mind
reader to you, readers, I wanted to buy a copy of Liberation. I could not direct me to a kiosk to a newspaper that is now over 15 hours and no
copies available.
I must say that I'm two steps away from rue Cambon headquarters at Chanel, and that any people to make himself seen in cafes
and bars in the vicinity, had probably robbed the newsstand.
But after two other booths, I dropped to my heart cons.
Next time, I know it must run from nine hours to buy his newspaper.