C’est d’abord parce qu’il faut bien que quelqu’un s’y colle, s’élève contre le lynchage professionnel et médiatique qui enfle tous les jours un peu plus façon torrent de boue dans les faubourgs de Draguignan.
C’est aussi parce que nous nous soucions autant des résultats passés et futurs de l’équipe de France que Josette et Marcel de leur première (vraie) galette-saucisse.
Deux raisons à cela : d’abord le nationalisme sportif est pour nous un concept aussi débile que le patriotisme économique, ensuite nous n’y connaissons que dalle de chez que dalle question foute-balle.
Reconnaissants mais aussi admiratifs d’avoir supporté si longtemps une équipe de crétins égocentriques, du genre toujours premiers en gymnastique histoire de se venger de leurs camarades de classe « normaux » - entendez ceux que la providence a pourvu d’un QI au moins égal au double de leur pointure de baskets.
Admiratifs aussi de s’être coltiné sans broncher, du moins officiellement, ce parangon de vertus politiques, de distinction naturelle et de finesse intellectuelle nommé Roselyne Bachelot.
Saches aussi, puisqu’il paraît que tu nous lis toujours avec intérêt et que tu as désormais un peu de temps libre, que la rubrique sportive de notre modeste blog est à ta disposition si tu souhaites continuer à faire preuve de ce très mauvais esprit médiatique pour lequel nous t’aimons et t’admirons tant…