Le foot rend-il con sans exeption? Ou bien pourrit-il tout simplment la nostalgie de passéistes ringards? Voici un texte du passé montrant déjà les problèlmes du foot et le rêve d'un "autrefois meilleur" digne des écolos d'aujourd'hui! Le sport en général est pourri, dès le début, dès sa naissance et son invention par des riches d'extrême-droite appréciant le spectacle de leurs palefreniers se foutant sur la gueule au début de la boxe tour en pratiquant, eux, la chasse, ,exercice physique tiu autre. Le sport, distraction chic pour le pognonneux, est aussi l'exploitation des pauvres, exhibés, donnés en spectacle, parfois détruits... !Avec une accessionsociale assez rare mais spectaculaire dont l'espoir peut calmer les révoltesz! Voici les jérémiades d'un vieux con de jadis, pareiles à celels d'un vieux con d'aujourhui et de pasmal de jeunes cons qui sont vieux dans sleurs âmes:
Argent dans le football, rigueur de l'entraînement,
esprit d'équipe, respect de l'arbitre
(D'après « Le Ballon Rond », paru en 1920, 1921 et 1925)
Au début du XXe siècle, le journal "Le Ballon Rond" aborde les questions d'argent dans le football, de rigueur de l'entraînement, d'esprit d'équipe et de camaraderie dans ce sport, et de respect de l'arbitre durant un match
Dans le numéro du 22 janvier 1921, Jean Ducasse s'exprime ainsi :
Il est vraiment pénible, pour un vieux footballeur comme moi, de constater la crise que le sport traverse actuellement. Où est-il cet heureux temps de jadis où seuls trois ou quatre clubs de football jouaient sur des terrains à peine tracés, où les poteaux étaient de simples piquets flanqués en terre. Comme il faut le regretter, puisque chacun jouait pour le plaisir de se distraire sainement, uniquement pour l'amour du sport, de son club. Il n'y avait pas de recette, pas de public, pas de professionnels.
Le chroniqueur poursuit : tous étaient de vrais amateurs, des purs, comme il n'en existe plus, hélas ! aujourd'hui. Depuis, l'amateurisme marron est entré dans notre vie, dans nos mœurs, et on l'a accepté, autorisé, reconnu. C'est cette lèpre qui menace de tuer le sport, le ver qui ronge l'arbre par la racine, si nous n'arrivons à le tuer assez tôt... Le public, petit à petit, est venu aux matches. Il s'y est intéressé, il y assiste chaque jour davantage. Aussi, lorsque les clubs ont commencé à faire de l'argent, les joueurs se sont montrés plus exigeants. Il leur fallait des avantages, des satisfactions de plus en plus grandes. Les dirigeants qui tenaient à leurs joueurs ont cédé pour les garder ; et pour « couvrir » ces nouveaux frais, on n'a plus pensé qu'à amener beaucoup de public pour que les recettes viennent contrebalancer les exigences de ces messieurs.
Aussi, cet argent qui aurait pu être un grand bien si on l'avait employé à améliorer les terrains, les installations, faire que puisse se pratiquer le football avec le plus de régularité possible, afin que les joueurs prennent un réel plaisir au sport qui les intéresse, n'a été qu'une source d'ambition, de jalousies, de querelles, de dissentiments. Maintenant on ne joue plus que par intérêt. Intérêt pécuniaire ou satisfaction personnelle, c'est tout comme.
On joue pour se faire voir, pour la galerie, et on délaisse l'esprit de club qui tend
La suite? Là: http://www.france-pittoresque.com/anecdotes/110.htm
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La seule sauvegarde du sport serait d'entériner cet état de fait, de le considérer comme légitime. Et, bien sûr d'autoriser le dopage, inhérent à certains sports. Car malgré de grands discours purs et cherchanr le sublime, le sport, tueurs des jeux traditionnels, niveleur culturel désidentifiant, a toujours été sordide. Et servant à connifier et à dominer le peuple qu'il transforme en public. Le sport sert aux dominant et roule les dominés dans la farine.
La France,pays de pensée, de culture devrait we placer en tête de l'oposition aiu sport, au spectacle sportif et à tout ce monde producteur de racisme, de bêtise. elle devrit promouvoir la CULTURE physique, l'EDUCATION physique et auss les jeux traditionnels qui peuvent évoluer au lieu de tout soumettre aux sports modernes, industries coupable et almiénantes. Et faire que la compétirion ne soit ps le seul but au profit de la recher'che d'équilibre et de bien-être que peut donner une culture raisonnée du corps, analogue à ceooe de l'esprit. Or, le sport va avec l'inculture généralisée...