« Estocade n°28 : Schtroumpfs têtes à claques | Home
Par Toréador | juin 23, 2010
Quand je pense à la vieille Hongroise
Qui jouait au Honved Budapest
Trahie, bernée à la Bernoise
En finale contre un frère de l’Est
Quand je pense à la vieille Hongroise
J’envie les équipes disparues
Fiers pays qui portaient un rêve
Et n’ont jamais connu l’avanie
Ne m’appelez plus jamais Bleue
Les Bleus, ils m’ont laissé tomber
Ne m’appelez plus jamais Bleue
C’est ma dernière volonté
J’étais une équipe gigantesque
Capable de gagner mille matchs
J’étais un géant, j’étais presque
Presqu’aussi fort que Paris Match
J’étais une équipe gigantesque
J’emportais des milliers de gens
J’étais la France, qu’est ce qu’il en reste
Un corps sec pour des arrogants
Ne m’appelez plus jamais Bleue
Les Bleus, ils m’ont laissé tomber
Ne m’appelez plus jamais Bleue
C’est ma dernière volonté
Que le plus grand journal de sport
Ait le courage de me couler
Le cul tourné vers Clairefontaine
Berceau du rêve où je suis né
Ne m’appelez plus jamais Bleue
Les Bleus, ils m’ont laissé tomber
Ne m’appelez plus jamais Bleue
C’est ma dernière volonté
Sujets: Olé | No Comments »
Commentaires
You must be logged in to post a comment.