Terrain de foot à Rousies

Mentalité du sport.

Et voilà, comment la gauche stagne! Au quotidien, dans le détail, dans un village! A rousies, une mairie de gauche gère come elle peut crise et le désastre économique comme l'anorexie culturel du Nord. Et voici qu'on nous fait un terrain de foot en gazon synthétique. Déjà, il ne devrait pas y avoir de terrain de foot tant que le substrat culturel n'est pas assuré. Mais passons! Car la gauche, depuis des décennes s'est fait entuber saumâtre par la mentalité du sport qu'elle devrait combattre!

Racisme.

Le Bulletin municipal roséen affirme que: "le sport consitue un lien social qui permet de combatte l'exclusion et le racisme".. Faut oser! Le sport, c'est l'élitisme, la névrose de la victoire, le racisme, ladissolutiojnde la culture au profit d'une idéologie créée par des racistes, des sexistes à la Coubertin  et même, pour le tour de France, des antidreyfusards!  De plus on se sert, pour le sport de haut niveau, de "supplétifs", d' "indigènes", exploitant l' ex-colonisé pour faire notre guerre nationale du foot avec ces nouveaux "tirailleurs sénégalais" aujourd'hui surpayés. C'est encore une manière raciste de procéder! Il conviendrait de protéger les enfants du sport qui pourrit tout, même le fric! C'est un devoir républicain. De plus, la victoire n'est permise qu'aux proivilégiés qui ont le loisir de s'entraîner, qui sont sponsorisés!  seuls les riches ou ceux qu'ils entretiennent peuvent gagner: moralité moderne! C'esr comme la présidence des Etats-Unis: on peut être noir, blanc, vert-pomme, le tout est d'être friqué!

Culture, éducation...

Une pensée de progrès remettrait en vigueur les idées d'EDUCATION physique, de CULTURE physique au lieu de transformer le corps en machine compétitive.Laq compétition est une bonne chose. Mais y consacrer sa vie ou ne penser qu'à ça, en faire le but des activités du corps est malsain. Ca ne peut,pas rendre heureux, ça génère le stress, l'angoisse; Ca rend bête. Il n'y a qu'à lire les déclarations des sportifs dans la presse!

Penser le corps.

Oui, penser le corps autrement. chercher l'harmonie, le devenir, vouloir être ce qu'on devient, de venir ce qu'on est.;Se trouver, se connaître, apprendre à s'aimer pour aimer les autres.Vivre. Trouver son esprit.  Arrêter aussi cette aliénation du peuple.encore que le foot, dangereux, n'est pas aussi cruel que le cyclisme ou la boxe, sport autrefois "populaires" C'est à dire montrant la soiufrance humaine, les aliénés, les exploités, les pauvres aimant le spectacl de la souffrance, comme la corrida ou lescombats de coqs: alors, Tom Simpson mourant à la télé ou un boxeur au visage ensanglanré, ça plaisait. Un peu de culture a permis d'humaniser tout ça. Rappelons au passage que le cyclisme a toujours été dopé!

La loi du plus fort.

Quant autorisera t-on le dopage? Ca permetrait de le contrôler et d'évacuer l'hypocrisie qui est l'essence même du cyclisme. Foi de cyclotouriste, home de culture qui a parcouru la France à vélo en s'arrêtant aux bonnes auberges et pour admirer les cathédrales, les beautés du monde et , accessoiremet, la nature si moche deantune toile de maître, en écoutant le chant des oiseaux qui font pâle figure dès qu'on écoute Maessian ou Couperin. C'est con comme le sport, la nature, mais en pire: ce n'est que domination, loi du plus fort, prédation, soumission, esclavage, viol et j'en passe: "loi de la jugle", disent-ils pour ce qui ignore les lois, ces merveilles contre-nature qui protègent le plus faible conre 'immonde domiation "naturelle" du plus fort!

Vive la France.

Il serait temps qu'en France, pays de Condorcet, de Diderot, des Lumières, on commence à penser un peu plus même au niveau local. Spécialement à propos des choses qui "vont de soi" mais qui aliènent, des "faits sociaux totaux," selon l'expression de Marcel Mauss...Car ils nous bouffent la vie. Le sport, comme l'écologie qui tourne au vrai totalitarisme et à la désinformation, qui lui sont certes  inhérentes depuis ses origines, ne sotn pas assez remis en question. On manque de conscience et de conscience de soi. Et c'est oublier la tradition française, celle de la France, terre d'accueil et de liberté!  Qui refuse le racisme du sport et cette folie d'avoir des équipes "nationales"!

Danse.

Oui, le sport n'est plus tout à fati ce spectacle de souffrance qu'on appréciait tant. Le contraire de la danse, école de vrai courage: les performances physiques sont aussi dures mais on cherche la grâce et, si on souffre, on sourit, on serre les dents, on le cache pour donne au public un spectacle qu'on veut  parfait! On peut s'y ruiner physiquement comme dans le cyclisme, mais on est digne, on se tient droit. voilà une vraie école de vie pour la jeunesse!  on est loin de la mentalité pouacre du foot!

Moi.

J'ai sportivé bézef. Et j'e suis revenu. J'ai,aimé la natation et j'ai concourru.Le cyclotourisme, bien sûr, m'a guéri du sport en me faisant connaître mieux mon pays. Et j'ai surtout surtout la boxe française. Certes, je l'ai vécue " à l'ancienne", rétro et franchouillarde. Et non pas comme un sport mais comme une culture du corps. Et un autre esprit: on se foutait sur la gueule comme des chiffonniers, en plus habile, puis on allait boire un coup ensemble. En plus, on rigolait bien parce que mon prof travaillait aussi pour le cinéma et nous aidions à répéter les combats simulés avec des acteurs ou des cascadeurs...  Avec, parfois, des fous-rires!

"Village sans sport".

Oui, ce serait  bien, par exemple, qu'un village ose se éclarer "village sans sport", sans terrain de foot mais avec un théâtre, un bibliothèque, une discothèque, un musée et des équipemnts de CULTURE physique d'EDUCATION physique voués à l'harmonie du corps, au bien-être physique de tous, à des techniques de beauté, danse, gymnastique harmonieuse, beauté du geste...tout enlaissantune petite place à la compétition en faisant revivre les jeux sportifs d'autrefois, en les faisant évoluer, en les reprenant tels qu'ils étaient ave,t la désidentification culturelle du sport qui a nivelé le monde au profit d'une idéologie libérale tellement propice aux totalitarisme que le sport est devenu l'un des dadas des dictatures les plus horribles. Pas mal comme phrase trop longue, non.?

Boule de fort.

Hé oui, le sport a désidentifieé les pays, les régions en standardisant tout! Et tel qui se plaint du maquedot qui offenserait notre tradition gastronomique ne défend pas la balle-pelote contre le foot, ou la crosse au but (joli contrepet) contre la connerie universelle et oppressante! Il y a tant de joie dans ces vieilles pratiques qui devraient renaître dans toutes les régions: j'ai joué une fois, fort malhabilement à la boule de fort poitevine, c'est épatant! Et il y en a tant d'autres! Un effort CULTUREL gouvernemetal devrait aider financièrement ces pratiques, fort généreusement tout en laissant les footeux financer le foot! Aucun terrain public! Le sport doit devenir privé et payer pour ses nuisances en participant à la renaissance des cultures locales!  qu'il a, comme le sport en général, tuées ou peu s'en faut!

Adidas.

"Combattre l'exclusion et le racisme"? Exemple : Hitler a refusé de serrer la main de Jesse Owens, champion à la peau noire qui portait cependant des chaussures allemandes, ultra-légères pour l'époques et inventées par Adi Dassler (' Les premières syllabes de son nom ont créé la marque Adidas). Ne pas remettre en question les aspects idéologiques du sport est coupable!

La politique et devenue un sport.

J'ai beaucoup de sympathie pour la municipalité de rousies.Mais comme pour d'autres groupements plus ou moins à gauche, je ne peux vraiment adhérer. C'et là, au niveau de la vie quotidienen qu'il faudrait penser et agir, tranquillement, en douceur... Mais évidemment, combattre le foot empêcherait la réélection!  Les Sarkozy et consorts sont au pouvoir pour longtemps!  La politique est devenue comme le sport: compétition d'équipes jouant au même jeu!  Ce jeu, c'est le libéralisme, la stagnation sociale. Alors, si un autre gouvernement voit le jour, il y aura un peu de changement. Certes, avec de grands progrès, peut-être! Un peu. Mais rien n'avancera vraiment... Sauf l'accroissement du pognon des exploiteurs!

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Il y a déjà longemps, j'ai publié un livre, très bô, pas cher, qui s'intitule Tant qu'il y aura du sport. On peut encore le trouver par Amazon et autres.

PS.

j'aimerais bien pouvoir m'impliquer dans la vie culturelle de Rousies.J'ai ue certaine expérience et tout ça...mais je ne peux pas accepter les idées "qui vont de soi" sur le sport et bien d'autres domaines qui motnrent l'abâtardissement de la gauche s'abaissant au niveau d'un centrouillard embourgeoisé, droiteux  pâlichon,  nunuche et bien-pensant. Très gentil.  Elle ne peut plus faire autrement.Le peuple, certes est devenu public, masse sonsommante et proposer quelque chose defort est voué à, l'échec.Le Nord est-il foutu? Le sport en serait responsable en grande partie par la mentalité qu'il génère: tous les matches sont nuls!

Envoi: La gauche, autrefois, pensait. Maintenant, elle suit, est soumise et devient une sous-droite.