Mille lumières pour éclairer ta vue,
Mille violons pour chanter dans ta rue,
Je ne sais pas à qui tu ressembles,
Mais il est clair que tu croupis dans l’ombre.
L’ombre de jours anciens de ces tunnels sombres
J’ai vraiment tout perdu hors l’odeur folle
Du fenouil sur pied qui pousse au voisinage
De notre propre amour devinons les sillages
Il faut pleurer toujours, ou presque à chaque page,
Qui parcourt nos vies, tu dirais voisinage
Tu as si peur d’eux qu’eux même sont pétris,
De cette peur immense, cette folle aventure,
Dans le pâle silence, de nos indifférences
Tu sais ce que je sais mais je sais quoi tu penses
Je ne voudrais rien dire de cette lutte intense,
Pourtant, souvent, les moments où j’y pense,
Je ne revois que toi en bonne intelligence