L'affaire Bettencourt et l'affaire des Bleus, partout dans la presse, à la télé, la radio. La réalité encore plus palpitante que la fiction...
Le temps maussade invite à aller au cinéma, mais c'est tellement mieux en vrai en ce moment... Le suspens insoutenable nous tient en haleine avant chaque nouvel épisode des sagas.. D'ailleurs, ce n'est pas encore la fête du cinéma, c'est la fête de la musique. Les partitions ne sont pas des scénarios, d'ailleurs, pas besoin de partition, en France c'est free style en ce moment.
Lu dans Mediapart : Dans la conclusions de Vive la France de Michel Audiard, on lit : «Le petit chat est mort, mais la pièce continue. Et chaque fois que le rideau se lève sur les petits drapeaux, on continue de crier: “Vive Machin... Vive Trucmuche”... Alors pourquoi pas “Vive la France?” On aimerait bien que ça change. En attendant, on reste assis sur un vieux strapontin, dans un théâtre d'autrefois, à regarder gesticuler des acrobates qui n'amusent plus personne. C'est la gerbe!»
Bon allez, on range les vuvuzellas et on sort les parapluies... Et on va prendre l'air...