Smallville – Episode 9.14

Tes désirs sont des ordres / Persuasion
Saison 9, Episode 14 sur 22
Diffusion vo : The CW – 19 février 2010
Diffusion vf : TF6 – 7 juin 2010

Clark est contaminé par de la kryptonite bleue en ce jour de St Valentin.
Et voici le bébête show, pour nous tuer ces rigolos … On touche le fond avec cet épisode St Valentin de Smallville même si il reste de bons moments. Déjà, Lois en esclave à la ferme, c’est bien. Erica Durance se lâche bien et tout le passage en robe de mariée est simplement excellent. Certes, il rappelle de nombreux autres moments identiques dans d’autres fictions ou même des pubs mais c’est toujours aussi efficace. Et puis Erica Durance en soubrette puis en robe de mariée, j’étais forcément aux anges.
Malheureusement, le reste n’est pas du même accabit. Entre Emil relax et Chloé parano, je suis resté de marbre. Il y avait bien mieux à faire avec Chloé notamment à mon avis. Je passerais aussi sur Zod et Clark qui jouent à qui a la plus grosse des deux, tout simplement parce que Zod, je n’y arrive plus du tout. Je sature à mort.
Mais l’épisode est important malheureusement, puisqu’il boucle toute l’intrigue lancée par le season premiere, celle de la tour solaire puisque Clark nous la détruit en fin d’épisode. Et c’est fait de façon un peu ridicule. Pourquoi ne l’a t’il pas fait plus tôt ? Si il suffisait d’un coup de rayon occulaire bah … c’est naze ! D’un autre coté, l’intrigue était finie, il fallait la boucler. On avait tout eu de ce coté-là, y compris l’épisode dans le futur donc bon, zou, dégage vilaine tour.
Enfin, un petit mot sur la kryptonite du jour, à tort appelée par certains de la kryptonite bleue. C’est e nfait de la « gemstone kryptonite », c’est tout nouveau, c’est tout beau, c’est une exclu Smallville. Et j’espère qu’on ne la reverra plus jamais, jamais, jamais. Zouf file, vilaine kryptonite !!!
Bref, 3/10
L’épisode était très long, poussif et inintéressant hormis lorsque Lois se lache grave dans son coin. Mais malheureusement, on ne peut pas oublier cet épisode en raison de la fin explosive de celui-ci, chose qui renforce la mauvaise impression que j’en ai.