Editeur : Denoël date de parution 18/08/2010- 224 pages
Quatrième de couverture :
Pourriez-vous arrêter svp, ce n'est pas la peine de l'appeler, fini c'est fini, bien vouloir noter, du large, de l'air, les sommations ont été données, pas reçues? au loin s'en vont les nuages, la voie est libre la porte ouverte le monde est vaste, allez-y voir, on vous l'a déjà dit c'est fini c'est décidé...
Perluète a tout perdu. Il est parti, l'a quittée. Elle est désormais seule. Elle marche, dans un paysage inconnu, totalement nouveau. Seule, ou unique?
Une écriture originale, sensible, pudique et drôle, pour évoquer la séparation, l'amour perdu.
Avertissement : inutile de me poster des commentaires en me disant que ce livre fait appel à l’intelligence ou que j'aille lire des Harlequins...
J’abandonne ce livre à la page 54. L’écriture originale indiquée sur la 4ème de couverture est en effet surprenante!
Un style hachuré, télégraphique qui m’a d'abord surprise. Passé ce premier effet (comme dans certains bonbons), cette écriture m'a laissée perplexe et m'a enlevée toute envie d'en savoir plus sur Perluète.
Des phrases sans sujet, des paragraphes s’ouvrant sur des tirades entre parenthèses… Je n’accroche pas et j'abandonne !
« Marcher sans fin, cela fatigue, pour finir. Finit par entrer dans un café, s’installe sur la banquette, commande quoi, un café par exemple, récupère un peu, repose ses jambes, s’éternise. Au premier contrôle ira se cacher dans les toilettes, refuge classique, depuis des générations (…)"