Posté par lapecnaude le 21 juin 2010
Désabusé, oui, mais quand même doucement rigolard, je suis bien contente quand je regarde les photos de Carla et son couturier fétiche à qui elle va offrir un hochet (qui ne lui coûte rien et qu'on va bientôt trouver dans la sciure), cet être hybride, anticonformiste qui, comme moi aime les grands blonds ou bruns, musclés, sentant bon le sable chaud (même légionnaires), cet amoureux des chiffons dont il entoure les femmes. Cette femme est un joli morceau, on l'aurait crue nunuche lorsqu'avec sa guitare elle bêlait des conneries pour petites filles en mal d'amour. Non, elle s'est transformée en hétaïre subjuguante, aux yeux d'agathe, à la bouche pulpeuse, des jambes comme des jours sans pain, et un cul, ma mère !, mais un cul, callipyge, rond, mouvant comme les vagues à la marée montante au Mont Saint Michel !….
Hypnotisée que j'étais, quand elle a grimpé les escaliers à Madrid avec l'autre jeune Altesse, ces balancements de croupes en cadence, quelle musique pour les yeux !
Vaut mieux que je me secoue, sinon je vais tomber dans le porno, moi, quoique parler du couple présidentiel et du gouvernement ce soit déjà du porno et du plus mauvais genre, sauf elle quand même. Que voulez vous lui opposer ? Roselyne et ses rondeurs engoncées dans dans des vestes de couleur criardes et qui la boudinent de partout ? Celle là, elle pas encore trouvé le vaccin anti-obésité, sinon combien de millions de doses elle aurait dû encore acheter à ses copains. Je ne compare pas leurs intelligences, Roselyne étant dotée d'un hémisphère cérébral à sens unique : pognon, l'autre ayant été bouffé par son vaccin H1N1. On y a mis le prix.
Alliot-Marie ? Elle a peut-être de beaux yeux, mais elle les cache sous sa mèche rebelle. C'est un costard sur un porte-manteau, c'est vrai, en plus depuis qu'elle a été ministre des armées, elle marche comme si elle avait un balai dans le cul. Bref, passons. Les autres, même pas une bonne grosse blonde (j'aime pas les blondes), par contre, une délicatessen, un bout de zan, un réglisse d'antan, un bout de chocolat fait au moule qu'on aimerait fondant, doux, mais un peu plus silencieux, on peut rêver quand même ?
Les mecs, à tout seigneur, tout l'honneur, le proxo en chef, celui qui se hausse plus haut que son cul, qui cause de choses intimes, à eux (leur équipe de sport) depuis son pupitre russe. Comme si Medvedev en avait quelque chose à faire des “mouches” de l'équipe de foot française. Et les français donc ! Mais voilà, sa nanitude pensait étouffer les hurlements provoqués par sa réforme des retraites sous les vivats dus à ses champions. Râpé, niet … on va gueuler Na ! Boh !
Tout lui tombe dessus, des avocats et des victimes, un juge d'instruction qui ne croit pas aux instructions qu'il a données sur l'affaire de Karachi. Il est quand même mouillé, lui, l'avocat d'affaires, il a trouvé moyen de magouiller un système de société écran pour camoufler les transferts illicites de fric. Du bon nannan de contribuables français encore !
Rien qu'en plus Villepin s'est décroché tout seul et a créé son parti politique, c'est un camouflet pour notre champion international de tout. Même les vioques se révoltent, elles ont payé, elles causent, en plus sur bande audio, “preuve admissible Votre Honneur !” Y a bien eu magouille et chèques ! Ils vont tous devoir apprendre à conjuguer le verbe “palper” à tous les temps. Dur, dur, après avoir détruit l'enseignement, comme faire apprendre à sa progéniture la conjugaison sans enseignants ? Vrai que Sarko, en grammaire, il a la science infuse !
Cà lui déborde de tous les côtés, la fumée des cigares de l'un, les avions de l'autre, les appartements de fonction (et les cinq à sept alors ?), en plus les rivières s'y mettent aussi… c'était pas prévu çà. Il attend pas la décrue, mais la fin du décompte des maccabées pour venir ergoter sur les mesures prises et à prendre … un jour, quand il y aura des sous, si l'Etat gagne le super-loto européen ou que Courbit lui donne quelques actions sur les trucs de paris. Ce serait une façon de remonter les finances.
Bin, j'dégoise, j'dégoise, mais en attendant, on n'en est pas sortis !
Bin voilà, j'ai fini.