Materazzi avait raison, c’est Zidane le fils de pute

Publié le 19 juin 2010 par Foothese

La France cherche son traître. Nous en avons sans doute trouver un autre. Comment Zidane influe encore sur l’équipe de France et sa composition ? C’est l’histoire d’un schizophrène…

Zinedine Zidane c’est aujourd’hui un type de bientôt 38 ans qui apparaît comme une icône absolue : consultant TV sur Canal, conseiller du club le plus riche du monde, père de famille modèle, égérie de Generali, de Grand Optical ou de Volvic. Et si l’ex-meilleur joueur du monde était un mensonge géant ?

Rappel des faits : la rumeur court, Zidane aurait tenté d’influer sur le 11 des bleus contre le Mexique. Il a contacté des joueurs au sein du groupe et 4 d’entre eux ont été voir Domenech pour lui demander de passer en 4-4-2 et de suivre ainsi les demandes de ZZ. Qui Zidane a t-il joint ? Sans doute Gallas, Ribéry ou Evra puisqu’Henry n’a jamais été son grand pote. Les 4 fantastiques ont ensuite pris leurs responsabilités pour parler à Raymond.

Le sélectionneur aurait même accepté de passer dans ce système et de mettre Henry en pointe et Valbuena à droite. Deux constats : d’abord Zidane ne connaît rien au foot pour demander la titularisation de Valbuena et Domenech n’avait plus aucune certitude.

Pourquoi ?

Domenech a ensuite appris que l’origine de la demande émanait de ZZ. Raymond a donc tout jeté et sorti une grosse colère selon Libé. Mais pourquoi Zidane a fait cela ? Par pure charité, par solidarité ou par intérêt ? On va pencher pour la dernière solution. L’ancien Ballon d’Or prenait position de façon de plus en plus virulente contre le staff en place (« Domenech n’est pas un entraîneur », « me sortir contre la Corée en 2006 était idiot », » nous n’avons pas de système ») mais de là à imaginer ses actions obscures dans le dos de tous, quelle honte ! Pourquoi a t-il fait cela ? A part par goût du pouvoir, on ne voit pas.

L’image immaculée de Zidane va t-elle en prendre un coup ? Après son carton rouge en 98 puis en 2006, Zidane aura toujours marqué les tournois mondiaux d’un double visage.

Mitch Butcanon