Aimée Verret écrit de la prose, de la poésie, de la poésie en prose, des sous-titres, des cartes d’anniversaire et des courriels et elle est là pour chialer, et je ne vais pas me priver pour le faire. Films, poésie, romans, pièces de théâtre, télévision, guenilles, n’importe quoi qui me tombe sous la main est prétexte à déception et bitcheries. Ou encore, prétexte à louanges qui prennent bizarrement le ton de la bitcherie. Je suis une grande sensible, mais je me soigne.
Tout me fait chier.