Appel du 18 juin…
Récit d’un dîner intime entre Malraux et le Général de Gaulle, à Colombey.
« Le service est fait par deux bonnes en tablier blanc. Le général verse lui-même le vin. Jusqu’ici, je ne lui avais jamais vu ce sourire descendant et cette paupière plissée que lorsqu’ils accompagnaient des boutades…(…) Le rôti succède aux soles. Bordeaux admirable. Le général ne laisse jamais un verre vide », Les Chênes qu’on abat…, p. 97 et alii, Ed. Gallimard.
Il est un tire-bouchon que l’on appelle communément le tire-bouchon de Gaulle…
: http://www.union-gaulliste-de-france.org/article-tire-bouchons-charles-de-gaulle-explication--37406906.html
Isabelle