"J'ai imaginé le monde que vous nous avez préparé."
Voici comment je décrirais l'univers de Black-out à un homme politique, qu'il soit de gauche maladroite ou de droite décomplexée.
Mais Black-out, c'est aussi un jeu constant sur les différentes mises en scènes. Le lecteur n'est ni tout à fait dans une réalité future probable ni tout à fait dans un monde surréel. Il erre entre les deux. En trois cent pages, il passera de la parodie à la mélancolie, de situations absurdes à une peur latente et bien réelle.
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