Un peu la gueule de bois aujourd'hui...Non par excès d'alcool mais par indigestion de la lamentable prestation de l'équipe de France hier soir contre le Mexique. La coupe du monde est terminée pour nous. Je ne peux pas dire que je suis surpris, mais tout de même très déçu.
Malgré tout, mon moral est au plus haut. En effet, je suis à l'aéroport d'Orly, à deux heures du décollage pour Montréal et une chanson me trotte dans la tête depuis un bon moment. Quoi de plus normal, me direz-vous, que de penser à Lindberg lorsqu'on est sur le point de prendre l'avion pour le Québec.
Quand je pense que cette magnifique toune date de 1968. Elle est plus vieille que moi et n'a pas pris une ride, comme Robert Charlebois qui, lors de son entrée sur la scène du FestiVoix, il y a presque un an, avait l'air d'un gamin :
Les excellentes paroles de Claude Péloquin et la superbe mélodie de l'ami Robert ont fait de Lindberg un énorme succès dans le monde francophone, le premier d'une longue série pour Charlebois.
A l'époque, il l'interprétait avec Louise Forestier, une mauricienne, née à Shawinigan :
A la différence de Robert et sa Sophie, moi, ché où chu rendu... dans 9 heures, à Montréal !!!
Bye...