Un ordinateur relié à un équipement de perfusions.
Les deux étudiants, Robert Miller (20 ans) et James Robertson (21 ans), qualifiés de « brillants » par leurs professeurs, ont été retrouvés dans une chambre d’hôtel, située à plus de 100 km de l’Université d’Edinbourg où ils étudiaient la physique et les maths. Apparemment, ils auraient conclu un pacte suicidaire en utilisant un logiciel qu’ils auraient créé et relié à un équipement de perfusions intraveineuses. Le logiciel était destiné à calculer et à délivrer, via l’équipement de perfusions, la dose suffisante de substance létale.
Deux étudiants influencés par le Docteur La Mort ?
Selon le Daily Mail, les enquêteurs doivent déterminer si les deux étudiants ont été influencés par les travaux du « Docteur La Mort », le docteur australien Philip Nitschke. Le docteur Nitschke avait créé dans les années 90 une « machine à suicide »(photo) conçue pour délivrer à un patient souhaitant en finir avec la vie une dose létale.
Machine à suicide interdite en 1997
Pour tester la volonté du patient, la machine posait une série de questions. Si les réponses aux questions se révélaient déterminantes, la machine se mettait en marche. Attention, la machine ne pouvait être utilisée que par des patients souffrant d’une maladie incurable, sains d’esprit et avec le consentement de trois médecins. Finalement, la machine a été interdite en 1997.
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