Tout simplement parce que tu ne veux pas l’entendre, imagine si je te disais l’envie et le désir, les rêves la nuit, les songes le jour, les heures que j’invente entre tes bras sur un temps que j’emprunte avec intérêt, à d’autres, encore et toujours l’histoire recommence, entends-tu ce que j’ai à vivre contre ta peau, sens-tu l’appréhension de ce baiser entre nous, souviens-toi d’un souhait, il y a longtemps, te demander « puis je vous embrasser monsieur ? » Je l’ai pensé souvent, sans le dire, pourtant. Imagine si tu me répondais non ou pire encore, alors je préfère garder le silence ou des mots qui s’embrouillent dans un flirt sans objet, et j’en suis désolée quand tu t’éloignes ainsi sans comprendre.