Achat de liens : interview de Text Link Ads

Publié le 16 juin 2010 par Stephane Degor
En 2007, Google faisait la chasse aux liens achetés (voir cet article par exemple ou cet article complet de Zoorglob), notamment en annonçant être en mesure de "punir" les sites affichant des liens achetés (plus de popularité = plus de liens à vendre).
En 2010, les liens pouvaient être achetés, mais sous conditions (Aurone.com : Un lien peut être acheté. "Business is business", mais il faut lui donner l’attribut no-follow), mais aussi par l'utilisation d'une page de redirection, un accès bloqué par le robots.txt, ou encore en utilisant un lien en Javascript. Logique, un lien acheté a parfois plus d'impact qu'une bannière publicitaire mal placée en termes de visites... Mais, sous ces conditions, la popularité n'est pas transmise, ce qui est quand même le principal intérêt d'un lien acheté...
Comment Google détecte-t-il les liens payés ? en utilisant "un certain nombre de méthodes, notamment des techniques algorithmiques" ou en comptant sur la délation des internautes.
Text Links Ads (spécialiste américain de la commercialisation d'achat de liens) lance son activité en France (voir l'interview d'Alain Bensimon sur le Journal du Net : "le code informatique du lien comporte la mention "follow" qui permet aux robots de Google de les compter comme une sorte de vote qui contribue au bon référencement du site de l'annonceur", mais avec la promesse que les liens achetés "soient cohérents avec le contenu et le sujet de la page sur le site éditeur"...
Posté par Stéphane DEGOR
interview du jdnet dans la revue de presse hebdomadaire d'ABC-Netmarketing