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Après les médias internationaux... snorounanne veut savoir! (article 54)

Publié le 17 juin 2010 par Snorounanne

veuillez faire jouer l'audio au moment que je le signalerai, merci

Si le chapeau nous fait, portons-le!

Suite à ce passage inquiétant et à la fois mordant de la semaine passée, mesdames et messieurs, j'aurais cru ne plus revoir Paella. Pourquoi pensais-je ainsi? Est-ce que vous seriez prêts à vivre auprès d'une personne qui ne se sent pas comme une personne dans un corps humain et non qu'elle souhaiterait être autre qu'un humain, par exemple, un animal... non! une fleur? Ah, baliverne!

Pourquoi ces enfants de lumière, ces êtres de lumière, ces enfants indigos grandissant parmi cette société ne serait-elle pas d'une minime partie ce qu'on a donné comme définition " les anges terrestres ou les anges physiques? " Je sais ce que je suis car je le vis et ce n'est pas tout récent.

J'ai écrit des tas messages spirituels et au-delà du terrestre, je les captais par mon intérieur, j'avais 16 ans. Mais j'écris depuis longtemps, j'ai des sensations, émotions, sentiments qui n'appartiennent pas à la Terre. Et, lorsque j'ai su que je n'étais pas seule à sentir, ressentir, capter, percevoir, mon intérieur a pris le chemin de l'ouverture encore plus étendue. Oui parce que je me disais, ayant une forte imagination dès le bas âge que cette fertilité aurait eu gain cause sur mon état d'être imaginatif et créatif. Il n'en est pas ainsi.

À l'âge de cinq ans, une lumière blanche m'est approchée alors que je me trouvais dehors, assise sur le bord de l'escalier, cour arrière. La sensation... pénible pour moi de me rappeler des faits de mon enfance, mais la sensation m'a marquée telle une étreinte douce et chaude.

Toute enfant j'ai été... j'étais entêtée, tête de mule, rebelle. Rien ne me plaisait sauf ma solitude. Je m'amusais en groupe, avec des copains, copines mais me retrouver avec moi-même et mes jeux, c'était comme un appel. J'aimais dessiner. Ma mère m'a fait ce rappel en mémoire qu'à l'âge de deux ans et demi, trois ans, j'avais fait sur un calepin, l'histoire des mouches, en dessin. Cela donnait comme résultat, une sorte d'animation en feuilletant rapidement les petites pages du calepin. Vous voyez le genre? À cet âge, je faisais de l'animation. L'art de tenir un crayon et de stimuler mes intérêts sur du papier m'était venu très jeune.

Bébé, elle me racontait que les nuits ont été longues. Je ne dormais pas. À tour de rôle, ma mère, mon père me prenaient dans leur bras et me berçaient. Ma mère me racontait aussi que mes yeux parcouraient le plafond et suivaient constamment quelque chose.

Aujourd'hui, ils savent le pourquoi. Je fais ce qui m'appelle et ce qui m'éclaire afin de le transmettre aux gens, par les moyens qui me sont accordés. Je ne suis pas plus ni moins. Mais je ne suis pas de ce monde terrestre. Par des liens biologiques et légaux, oui. Et non, j'écris avec le pronom "je" et je sais que parmi vous, mesdames et messieurs, jeunes et moins jeunes, vous vous reconnaissez. Je me raconte. Il est naturel que je le fasse de temps en temps.

Alors, si vous avez du temps de libre, lisez des articles, sur les êtres indigos, l'enfant, l'adolescent, l'adulte que nous sommes. Il y a de l'info sur l'internet. Vous comprendrez, et je souligne, peut-être vous comprendrez alors, mes réactions impulsives face à certaines situations et certains individus de cette société.  (homme et femme) et tout compte fait. Ceux et celles qui sont indigos, vous comprendrez que vous n'êtes pas seuls dans ce monde ici.

Ce qui est donc, ma surprise de constater que Paella était demeurée non éloignée. Si vous comprenez ce que je veux dire?

Paella - Tu es matinale, snorounanne.

snorounanne - (Sursautant des épaules, je me croyais seule debout) Je pourrais en dire autant pour toi.

 

Matinal, l'étions les deux, faut pas se leurrer...

Paella - Viens prendre ton café avec moi. Nous discuterons par le fait même de ces choses.

snorounanne - Je vais réchauffer mon café... celui-ci est tiède, si tu veux.

Le café avait été fait au-delà de deux heures et il était 06:35

Paella - Tu voudrais réchauffer le mien, s'il te plaît?

snorounanne - Oui. (Elle me tendait la tasse) Tu es debout depuis quand?

Paella - Je t'ai entendue te lever vers les quatre heures trente. Je suis réveillée depuis ce temps mais debout depuis vingt-cinq minutes.

snorounanne - Pardon, si j'ai brusqué ton sommeil. Je ne pensais pas avoir fait du bruit. (versant du café tout frais chaud) Tu... (Montrant du doigt la cafetière)

Paella - J'en ai préparé du frais, oui.

snorounanne - Je suis restée dans ma chambre. Je n'arrivais pas à trouver le passage... de bien dormir... (Déposant les tasses de café) Il fera une super de belle journée. Le soleil est beau, ce matin.

Paella - snorounanne...?  Je sais, j'ai compris et tu es de loin, anormale. La vidéo m'a fait un rempli, si tu veux. Je n'ai pas vraiment les mots appropriés. Je sais que cela fait partie de la vie, de ta vie. Car la vie ne se limite pas à ce que nos yeux voient. Il y a plus que nous n'en savons encore.

snorounanne - (prenant une gorgée de café) C'est rassurant.

Paella - Rassurant... de?

snorounanne - Eh bien de savoir que j'suis pas anormale. (sourire nerveux) Que tu me dises que je suis correcte mentalement...

Paella - (balançant de la main) Je t'ai pas dite et je t'aurais jamais dite que tu es dérangée mentalement. Ah... tu vois? J'ai pas les mots comme je voudrais l'exprimer pour te dire que...  que je trouve cela merveilleux ce que tu vis et es!

snorounanne - Paella...  je te taquinais. Prends pas ces airs-là, je t'en prie. Je te taquinais. (sourire)

Paella - (donnant un léger coup de pied sous la table) Espèce de... de... de... tu m'as eue!

snorounanne - Tu comptes poursuivre ce travail, à mes côtés? (reprenant une autre gorgée de café) Je parle des nouvelles, de la télé, des reportages?

Paella - J'en ai envie. On fait une bonne équipe, toi et moi.

snorounanne - Oui. Et puis... comment ça se passe avec ce copain?

Paella - (un doux sourire) On y va graduellement.

snorounanne - Tu me le présenteras?

Et à cette question, je venais de surgir comme d'un rêve. L'image de l'émission de ce soir, m'envahissait si fort. Présentation, émission, snorounanne reçoit ce soir... Je m'excusais auprès de Paella et quittais la pièce pour aller dans mon bureau. Elle débarrassait la table et mettait les tasses dans le lave-vaisselle. Et s'arrêtait devant la porte.

Paella - Tout va bien là-dedans?

snorounanne - Oui! Oui... en vérité... (cherchant le document, le fasicule ayant été monté pour ce soir) merde!

Paella - Je peux entrer?

snorounanne - (lui ouvrant la porte) Désolée... j'suis désolée... mais là, la pression monte. J'avais écrit, quelques jours de cela (tournant la tête dans tous les sens) Non... c'est trop nul...  j'abandonne. Tu m'as dit inutile de mettre en écrit, le travail... les questions... et pourtant, j'avais ce document. (regardant Paella) Tu souris? Y a pas de quoi à sourire. C'est de la merde.

Paella - C'est elle qui te fait de l'effet, dis-moi?

snorounanne - Quoi?... Qui?

Paella - Jodie.

snorounanne - Foutaise! 

Paella - Alors, pas besoin de te tracasser pour un document en ce qui la concerne. Tu présenteras ton émission de ce soir comme cela viendra. La spontanéité... hen? C'est toi!

snorounanne - (ayant les idées flottantes) Hen quoi? Tu dis?

Paella - (souriante) Rien... Pourquoi on ne se recoucherait pas et essayer de dormir un peu pour avoir les idées plus claires? C'est seulement ce soir... t'as pas autre chose en vue?

snorounanne - Non, rien d'autre au programme avant ce soir.

Paella - Je te borde?

snorounanne - Non merci. Mais c'est gentil d'y avoir pensé. (sortant du bureau et allant à ma chambre pour récupérer quelques heures de sommeil)

Paella - Je t'aurais juste bordée. Ne t'imagine pas,...

snorounanne - (fermant doucement la porte de chambre) Je ne m'imaginais rien. À plus tard.

Non, je ne m'étais rien imaginée aus sens figuré mais au sens propre, Jodie me perturbait. Je reconnais qu'il y a un combat entre Lady Gaga et elle, si ce n'est que de les avoir invitées au même nombre de fois. Mais, quand des nouvelles circulent à vive allure et avec déploiement, on cherche à en savoir toujours plus.

Et cette affaire d'agression sur un mineur... Jodie Foster avait-elle appuyé impulsivement trop sur la pédale? Cela s'était déroulé le 29 mai dernier, je vous en raconte un bref aperçu, mesdames et messieurs.

Jodie Foster attaque un jeune homme de 17 ans.

 L'actrice américaine connue pour sa discrétion se retrouve sous les feux d'une affaire qui pourrait bien lui coûter cher !

 En effet, Jodie Foster est accusée d'avoir agressé un adolescent de 17 ans alors que ce dernier tentait de prendre une photo de la star. Jodie Foster aurait bousculé,insulté et frappé le jeune homme. Il aurait fallu l'intervention du fils de la star âgé de 11 ans pour calmer sa mère.

 Cependant; cette déclaration déposée par la victime vient aujourd'hui contredire celle de l'actrice déclarant qu'il agissait tel un paparazzi armé d'un appareil photo digne de celui des habituels photographes. Jodie Foster affirme qu'il l'aurait suivi et photographié pendant de longues minutes alors qu'elle se rendait au cinéma avec ses enfants. Une version que l'on veut davantage croire même si les coups et blessures sont eux réels et pourraient bien se voir dédommager par un gros gros chèque !

5-4-3-2-1 Action!

snorounanne - Et j'ai à nouveau cette agréable chance de recevoir pour cette émission, mesdames et messieurs, la belle, la jolie, l'intelligente Jodiiiiiiiiiiie Foster!

Quelle musculature a cette femme!

snorounanne - (nous nous embrassions sur les joues et j'indiquais la place pour s'asseoir) Bienvenue à nouveau dans notre studio intime, Jodie! Et te revoilà à Montréal. Ça ne te dit pas de déménager de Los Angeles et de venir t'installer, ici? Ah ah! Je t'ai tutoyée (petit clin d'oeil)

Jodie Foster - Tu as bien appris ta leçon, je dois dire. Euh... merci pour tout cet accueil chaleureux. Et à ta question, je réponds... ça va paraître intime... mais j'ose! Tu me réinviteras chez toi et on en causera toutes les deux. (Dans la salle, on pouvait entendre des houuuu... des hooooo.... jouitif) Les gens consentent déjà, t'entends?

snorounanne - Oui mais... il sont pas à savoir que je n'ai qu'un tout petit un et demi vivable hen...

Jodie Foster - Tu dis n'importe quoi... N'allez pas croire ça. Sa demeure est très vivable pour trois autres personnes sans se nuire.

snorounanne - À t'écouter, on jurerait un message sous-entendu passant discrètement.

Jodie Foster - On s'amuse, pas vrai? Les gens en studio et  à la maison, snorounanne et moi ne faisons que s'amuser.

snorounanne - En totalité, elle veut dire qu'elle ne viendra pas vivre ici, à Montréal et ni chez moi.

Jodie Foster - Ouais mais... on ne connait pas tout sur l'avenir. Donc... on ne doit jamais dire jamais!

snorounanne - Je te regarde, Jodie. T'as l'air un peu fatiguée. Malgré les sourires, les beaux yeux que tu as et auras... hen... encore pour bien des années? Est-ce bien de parler de cette affaire d'attaque, d'agression sur un jeune homme de 17 ans?

Jodie  Foster - (Mettant la main sur la bouche puis la retirant) Ah sainte merde...

 Que les dieux lui viennent en aide...

Jodie Foster - C'est chiant tout ça, ma belle.

snorounanne - Tu l'as fait délibérément? Non... dis-moi, entre toi et moi, était-ce un paparazzi? À 17 ans... est-il possible de faire partie des paparazzis, des ravageurs de photos?

Jodie Foster - J'ai dit à la police que oui... il en était un... il avait ce gros sac et sa caméra avec un terrible objectif que seul des pros possèdent. J'ai... j'ai à maintes reprises, je lui ai dit d'arrêter de photographier, qu'il dérangeait et faisait peur à mes fils.

snorounanne - D'accord, il était agressant et harcelant avec ses innombrables clic clic sur l'appareil. Tu crois pas que c'est un coup monté? Que les parents peuvent avoir demandé à leur propre fils de dix-sept ans d'aller sur les lieux, de faire le boulot, d'en arriver à causer ce scandale et même au-delà des apparences qu'ils aient pues dire ne voulant rien en retour, sauf, tes excuses, ils vont te réclamer une jolie somme d'argent pour les dédommagements...

Jodie Foster - Bien voilà... c'est cela qui fait amèrement écoeurant. D'une façon ou d'une autre, c'est ce que je m'attends.

snorounanne - Et ton fils de 11 ans s'était interféré entre toi et lui pour cesser cette chamaille.

Jodie Foster - Il était effrayé et mon fils n'aime pas ces types de violence. Mais... le mal était déjà fait. Oui, j'ai brusqué ce jeune, oui je lui ai serré le bras,... après je ne sais pas combien de fois je lui ai demandé d'arrêter, il continuait... j'ai pété un plomb et... et... je protégeais mes enfants. Je suis convaincue que c'est un paparazzi.

snorounanne - Ah que c'est dur d'être juste et bon sans se faire pointer du doigt qu'on a, malgré, pas fait la bonne action! Et... mesdames et messieurs, j'ai des images démontrant que Jodie ne se conduit pas tout le temps comme une protectrice des ses progénitures. Ma belle Jodie, si j'étais vedette de cinéma ou chanteuse populaire et que j'avais des enfants, j'aurais eu le même réflexe que toi.

Jodie Foster - Merci snorounanne. Ça fait du bien à entendre.

snorounanne - Regardons ici, ces images prises par des paparazzis...

 Jodie tentant de dissimuler son joli minois avec son sac à main... (elle montait à bord de la voiture)

sortant d'une boutique... eh oui, elle a fait du magasinage! Et eux l'attendaient...

snorounanne - Ensuite, tu as pris le trottoir et tu marchais librement.

Jodie Foster - Elles sont de toi, ces photos?

snorounanne - J'suis pas en mesure de te le dire. Mais je me contrefiche des lois, des actions. Non, elles ne sont pas de moi. Des confrères de ce métier me les ont faites parvenir. Voyez mesdames et messieurs, Jodie, seule, sans ses enfants, elle s'est conduite en vraie star envers ces fâcheux paparazzis de merde!

Jodie Foster - Si je venais à passer derrière les barreaux, tu viendrais me visiter?

snorounanne - Je t'emporterai tes biscuits préférés... ces whippet!

Jodie Foster - T'es un ange, toi! Merci...

snorounanne - Pas choquée de ce qui a été dit et montré jusqu'ici?

Jodie Foster - Je garde le méchant pour la fin (petite grimace) Dans les coulisses...

snorounanne - (sourire) Sur ce, faisons place à nos commerciaux. Nous ne serons existés sans eux! Toi, tu restes bien assise. (tamponnant sa main avec la mienne) À tout de suite, mesdames et messieurs avec notre ravissante Jodie! Ne quittez pas.

Et l'heure avait passé et nous étions dans la loge des invités de l'émission, Jodie et moi échangeant une belle conversation de notre passé. La sienne, la mienne, le jour de notre rencontre, ces doux instants qui nous ont liés et qui nous ont déliés.

Sa main s'étant posée sur la mienne, je me resaisissais afin de ne pas éprouver des sensations et de ne pas lui faire voir que j'en avais toujours pour elle. On riait, on se souriait, on se moquait l'une de l'autre et on s'était aussi mises à pleurer sur nos moments incompris de ces périodes.

L'instant est approprié, mesdames et messieurs, jeunes et moins jeunes d'appuyer sur le bouton "jouer" de l'audio. Un message se couvre, faisant une suite à ce qu'il a été écrit dans l'éditorial précédent. Et d'ailleurs, elle est chantée par Bon Jovi. Je vous remercie tendrement d'être passé en lecture, d'y avoir fait votre interprétation. Merci à google pour les images. À bientôt. Bisous!


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