Son meilleur ennemi c’était lui-même.
Les gestes tailladées, les paroles étouffés, les espérances noyées. Tous ces instants de son existence exécutés de sang-froid, à les regarder agoniser, impassible. Les pertes avaient été effroyables. A donner des vertiges à tous les bandits de l’Histoire, à tous les criminels déments, à tous ces fanatiques, candidats au statut de maître du Monde.
Il torpillait la moindre pensée sensée. Le bonheur ensanglanté c’était son truc.