La violente correction qu’a subi le premier ministre Charest à la sortie de son domicile de Westmount hier serait un « crime d’honneur », selon le Service de police de la Ville de Montréal. Bien que le ou les agresseurs n’aient pas encore été appréhendés, tout porte à croire que monsieur Charest aurait été victime de représailles de la part de membres de sa communauté, pour son comportement jugé ignoble et impur. Rappelons que le premier ministre a été roué de coups et kické dans les chnolles tard hier soir.
Charest se remet tranquillement de la sauvage attaque
Le premier ministre se remet de ses blessures et s’est refusé à tout commentaire, invoquant que l’incident était une affaire de famille qui ne concernait pas les médias. Le peuple, qu’on considère comme un témoin important dans l’affaire, a aussi laissé savoir qu’il préférait que l’histoire reste du domaine privé.
L’histoire rappelle le cas de Stéphane Dion qui, lors d’un crime d’honneur semblable à la fin 2008, avait été la victime d’un wedgie atomique de la part d’agresseurs masqués. L’enquête policière avait permis d’identifier une quarantaine de députés libéraux fédéraux comme responsables dans cette affaire.