Les feignasses mexicaines…
Ce ne sont certes pas les amateurs de western qui me contrediront, il faut bien reconnaître que les moustachus bouffis et joviaux à sombrero invitent à la caricature. En gros, une bande de Mexicains titillent un peu les héros, essaient même d’en pendre un au milieu du film ; pourtant, à la fin, c’est imparable, ils se font exploser.
En d’autres termes, à l’orée d’un match opposant ces loosers patentés aux gars de chez nous, ne doit-on pas se demander si les Anelka et consorts ont l’étoffe de cow-boys ? Auquel cas, il leur faudra dégainer au moins une fois, ce dont ils n’ont pas été capables depuis qu’ils se sont confrontés à la grande muraille.
Sans doute gardaient-ils les munitions pour taper dans l’Aztèque… Vous l’avez compris, je miserais sur un bon vieux 1-0 pour les bleus. 1-0 seulement parce qu’avec Jabulani, on ne tire pas à balle réelle.
D’ailleurs, est-il seulement envisageable de ne pas jouer la France ?
Par Guillaume Gonzales pour Betabondieu
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La revanche de Castaneda : réponse de Mika
Selon de sorcières sources (ndlr : à ne prononcer que sous l’effet du peyotl), l’esprit du légéndaire anthropologue et gardien de but Jean-Carlos Castaneda – on lui a préféré à tort Ettori durant le Mundial 82 – devrait être ressuscité pour l’occasion (de but) par un chaman Yaqui afin de faire bouffer aux Bleus « l’herbe du diable ».
Assis tout en haut d’un temple maya de Chichen Itza (traduction : « c’est quoi le problème Bixente »), le fameux sorcier aurait posé la seule question qui s’impose : « Y ‘a qui ? ». Son regard embrumé se serait soudain éclairé à la simple évocation des noms de Henry, Gallas ou encore Govou.
Le jeu de la bande à Domenech ressemblant depuis quatre ans à un désert, les joueurs de Javier Aguirre auront en outre l’impression de jouer à domicile. D’autres paramètres extra-sportifs plaident pour une victoire mexicaine. Ainsi, les déclarations de certains joueurs français « Maya ? Connais pas. Y a que Zahia qui m’excique ! ».
Bref, le chaman aurait d’ores et déjà trouvé la recette pour cette rencontre os aux mets : l’aztèque frites, cuisson bleue.
Donc, victoire du Mexique 1-0 (avec un coup du sombrero de Giovani dos Santos).
Par Mika Herviaux pour Betabondieu