Catelina Betancur,chercheur dans une unité INSERM/CNRS nous explique: »le nombre de gènes aujourd’hui semble plus important que ce que l’on croyait jusqu’à présent chez un plus petit nombre de patients. Parmi les sujets témoins,seuls deux étaient porteurs des gènes SHANK 2 ou SYNGAP1. »
L’étude ouvre de nouvelles voies de recherches concernant l’autisme,un syndrome comportemental aux multiples facteurs.
Source:rfi,11 juin 2010