75 000 véhicules composent en effet le parc des ministères, sans compter les 17 000 chez les opérateurs de l’État.
Il s’y trouve des Twingo, certes, mais aussi des Vel Satis, des 607, des C3, des C5, des C6…
Les ministres roulent en Citroën C6, les chefs d’état-major des armées en 407, les généraux en 308…
Le gouvernement veut donc réduire cette flotte, au vu de la situation catastrophiques des finances publiques. On peut toutefois douter de l’effectivité d’une telle politique, puisqu’une circulaire avait été prise en ce sens en 2004. Or, depuis 2006, le parc automobile de l’État s’est accru de 7400 véhicules…
Le conducteur moyen, au volant de sa Clio et alors qu’il est toujours sur le coup d’une taxe carbone (en discussion à Bruxelles pour une adoption au niveau européen) sera ravi d’apprendre cela.