Demain commencent les 24 Heures du Mans. Un article de Ouest-France rappelle ce que la voiture normale doit au sport automobile en termes d’innovations. Le quotidien régional rappelle en effet que la compétition sarthoise a notamment servi à tester des inventions devenues aussi banales que les essuie-glaces ou le turbo, que des voitures électriques comme des voitures à gaz ont pris part à l’événement.
Cette année, ce sont les moteurs hybrides (fonctionnant alternativement au carburant ou à l’électricité) ou à hydrogènes qui s’essaieront sur le circuit, en plus des voitures à gaz ou électriques, en circulation depuis plus longtemps.
De même, on apprend que la réduction du nombre de mécaniciens obligeait les constructeurs à privilégier la résistance des pneus. Certains, par ailleurs, cherchant à maximiser la performance des véhicules avec des moteurs plus petits.
Qui a dit que les constructeurs automobiles étaient incapables de prendre en compte les enjeux environnementaux ?