Ozil ou Özil est la première révélation de cette coupe du monde 2010. Son accélération et sa passe de génie sur le premier but allemand marqué par Podolski, sa capacité à impulser du jeu vers l’avant et de créer des brèches dans la défense australienne, sa présence constante dans toutes les bonnes occasions de la mannschaft et son sens du but indiquent clairement que nous avons affaire à un futur grand du football.
Au sein d’une équipe d’Allemagne qui a enfin apporté une vraie envie de jouer et de gagner dans ce début de coupe du monde, le talent offensif d’Özil fait du bien et rappelle que jouer un match de coupe du monde demande un vrai engagement, une vraie envie et que la prudence qui devient le commun du football de haut niveau n’est pas rédhibitoire.
Özil pour faire court nous a permis de nous régaler, de vibrer, de voir enfin du spectacle. Normal : la bundesliga où évolue Özil est un championnat offensif où il y a beaucoup de buts.
Et en plus Özil joue au Werder Brême dont on connait le goût pour le jeu d’attaque. Bravo au joueur allemand d’origine turque qui nous réconcilie avec le plaisir de regarder des matchs de coupe du monde même lorsque l’enjeu est inouï.
Özil est la future star de cette coupe du monde 2010.