Secouer ma tête enflammé pour baiser les souliers de ma bien aiméElle m'attend cette femme de beautéet m'ensorcele de ses caresses passionnéesPour un pauvre poète que je suismes vers s'éternisent sur le doux pianoreconnaissance renaissance et insoucianceles idées se fracassent et se heurtent à un grand videla pédale glisse doucement, les mains écorchent les notes mais la mélodie ne s'égare pas papillonant dans la pièce à peine éclairéela lumière s'éternise sur la partition accrochéen face de moi, c'est un autre moi, doux reflet dans l'ébène de ce piano à merveillequi jette des émois et des cris de soupirs avec un balancé dans le phrasépour se glisser dans un petit swing rythmé
et terminer avec lenteur par un point d'orgue décontenancé.