Hier , je rencontre mon ami (le « jamais content ») ,physicien retraité comme moi.
-« Pourquoi t’es tu mis en tête de commenter ce numéro spécial de la RECHERCHE sur le temps qui n’existe pas ? Qu’as tu pu trouver vraiment de nouveau sur ce thème dans ces 3 articles insipides ?
-« Premièrement, parce que je pense que ça peut se révéler motivant pour chacun de mes lecteurs, puisque c’ est un sujet qui présente des aspects personnels et pas seulement en rapport avec la Physique ….Et deuxièmement parce que j ai des choses à dire !
-« Si tu as des idées sérieuses et des calculs ou des tests ou modèles à montrer va ailleurs …Sinon tu vas encore rajouter ta pile de mots à tout ce déballage de verbiage ! »
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Vous voyez l ambiance de nos conversations ! Je devrais donc déjà avoir un moral en berne pour vous présenter le 3 ème article « La valse des théories » écrit par le Pr. ALEXIS de SAINT-OURS en Philosophie des Sciences à l université ParisVIII …..
Pour rester malgré tout un instant sur cette remarque ( verbiage…. !) je ne comprends pas la méfiance et meme le scepticisme dédaigneux de mon camarade ( ou de certains physiciens) vis-à-vis des philosophes, épistémologues , métaphysiciens ,moralistes etc.. Seuls trouvent grâce devant lui les logiciens , les sociologues , les anthropologues et dans une moindre mesure les psychologues …Je suppose que mes lecteurs trouveront qu il présente comme physicien une affinité sélective pour certaines sciences humaines , puisqu’on les appelle ainsi…. J e juge cette attitude envers la Philosophie stérile. Les mathématiciens me semblent plus sages ..
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L interrogation de notre auteur commence par ces 3 questions qui articulent ses réponses : « A –t-on besoin du temps pour décrire le changement ?......Certains ( physiciens ) pensent qu’à partir d une certaine échelle ni le temps ni le changement n’existent.Quels sont leurs arguments ? »
Comme je vais devoir disséquer ses arguments je vous livre l essentiel de ses réponses DANS UNE PHOTO ET VOUS DIS /A SUIVRE