Magazine
On s'attache à la longue...en filins, en drisses, en écoutes ou haubans,et même en garcette à manille autour d'un poignet.Du cordage générique, on en a plein la tête,traduisez en repères, en gestuelle habitude.On s'attache à la vie, en coupant un cordon?On s'accroche bastingage,pour éviter le plongeon?
Ma prose du vendredi,a l'accroche bateau.Je m'amarre, ils se marrent...Je les entends d'iciDans la lucarne hublot, l'horizon s'est bouché "panem et circenses"stade anal envouté.
Je m'attache à tout larguer,des aussières, l'anxiété,du rêve embastillé aux normes réglementées...Je m'attache à jetée ouest profitant d'un espace libéré par un ailleurs trop occupéà postillonner ses conseils embièrésà un écran total.Au plaisir à crédit, j'en prends ma délivranceTout un mois à louvoyer, canoter, godilleretpasser entre les mailles du filet.pour m'attacher en résilience.