Eh bien détrompez-vous, il ne pleut pas si souvent que cela et la ville tente de corriger cette image à coup de panneaux publicitaires !
Ne reculant devant rien, j'ai moi-même par conscience journalistique et scientifique compté les jours où je me faisais mouiller sur mon trajet quotidien à vélo. Le moi de mai, mois ô combien significatif puisque (1) printanier (2) propice aux promos sur les vélos et (3) cadre de la campagne "vi cykler til arbejde" (je ne rentre pas dans les détails, ceux qui ont fait reconnaîtront) a servi de cochon d'Inde.
Voici donc le bilan des observations : Le 4 mai au soir, les vêtements de pluie étaient obligatoires. Le 13 mai matin, j'étais un peu humide, mais j'ai évité les vêtements de pluie. Au total, je compte de la pluie pour 2 des 2 x 17 trajets, soit 5,9%. Et là je dis : quelle bande d'arnaqueurs à la commune ! Avec les impôts qu'on paye, ils auraient quand même pu tenir leurs promesses !
Bon, plus sérieusement il ne pleut pas si souvent que ça et c'est bien agréable de prendre l'air, donc je n'échangerai pas mon vélo pour une voiture...