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Alcool bu, qu'il ne reste rien
il est des peines à nettoyer
chemin tout tracé vers le vide
ongles rongés, au plus profond s'est réfugié l'amour
toi mon amie ne lache rien, il reste peu
de mes lambeaux transpire encore un feu
brûle oh oui brûle réchauffe moi
tombe les cendres comme une pluie
vésuve ou stromboli tout me conserve
trouvera ou trouvera pas le corps enseveli
celui qui s'apaise en marchant s'affaisse et prie
je ne crois pas car il n'existe rien
rien d'autre qu'une flamme, à suivre,
à suivre et à souffler
... mais je n'ai plus de souffle