Epier l’enlacement soudain silencieux
De la rivière, par l’ombre du flottant nuage,
Tout cela grise ma vie par un profond tourment-de-joie
Pour qui je lutte toujours
espérant toujours
l’exprimer
(Tagore)
Epier l’enlacement soudain silencieux
De la rivière, par l’ombre du flottant nuage,
Tout cela grise ma vie par un profond tourment-de-joie
Pour qui je lutte toujours
espérant toujours
l’exprimer
(Tagore)