Qui silencieuse et passionnée rêve,
Dans le vide de l'espace
Elle voudrait porter son amour,
Au delà des étoiles,
Vers un dieu inconnu,
Amant de la vie
Qui l'attend, patient
En lui envoyant ses avances
En caresses lumineuses
Tu te voiles de gazes blanches,
Sur des rêves de neige pure
Où scintilles tes étoiles de vie
Dans tes écritures,
Volent les oiseaux du paradis,
Lettres fines et fragiles.
Et dans tes passions
Chantent les éclairs de ton coeur
Comme jamais n'entendront
Nos amants et nos déesses
Le ciel s'éveillait sur les chants lumineux
Qui en ondes dorées
Coloraient les nuages lourds de passions
Dans les cieux, les dieux se cachaient
Fermant les yeux étoilés
De leurs coeurs protégés
Sur les lacs de l'aube
Vastes eaux silencieuses
Qui s'étendaient dans les terres bruyantes
Les être vivants repeuplaient
Les vides et cauchemards de la nuit
O Aube, n'éteint jamais ta passion