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Le débat est magnifique : Vous prenez le groupe Gogol Bordello, bien connu pour son extravagance, ses concerts mythiques, son ambiance de folie, ses brassages ethniques, ses influences tsiganes et tout ce qui va avec. OK ? Et vous ajoutez à cela un contrat en bêton chez une major avec un monstre de renomée à la production. Etonnant non ? Et pourtant c’est bien ce qu’il s’est passé avec le groupe américano-russo-ukrénien. On entend déjà les vagues de contestations des premiers fans qui regrettent le label indépendant qui les à fait connaître et crie au scandale. Gogol Bordello aurait-il vendu son âme au diable ?