« Cette décision de censure qui s’en prend à une œuvre pour faire un exemple, alors de surcroît que l’œuvre n’a aucun rapport avec le conflit en cours, est inadmissible, poursuit l’Observatoire de la liberté de création.
Cette punition d’un auteur israélien revient à le rattacher de force à la politique et aux actes de l’Etat dont il est ressortissant.
Cette assimilation n’est pas supportable, car elle confond citoyenneté et nationalisme, et nie la liberté et l’indépendance des auteurs, ainsi que l’autonomie des œuvres.
L’Observatoire de la liberté de création demande au réseau Utopia de revenir sur cette décision dangereuse. »