je suis toujours aussi profondément outré de ce que l’on fasse autant supporter à la plupart ce qui n’est l’oeuvre que de quelques uns, cupides d’entre les cupides…
Les temps n’ont pas changé, où l’on récoltait, si nécessaire par la force, la dîme et la gabelle, pour que certains seigneurs puissent s’engraisser sur le dos de ceux qui gagnaient leur maigre pittance à la sueur de leur front.
j’attends donc notre Robin des bois qui saura faire rendre gorge à ceux qui ont tant et si bien profité de cette crise, dont les milliards partis en fuméee n’ont pas disparu pour tout le monde…
Suivez mon regard.
Résistance ! au règne de l’argent roi, hors de toute moralité… et si peu soucieux de l’intérêt commun.