Un son de mains…
Nous vivons ici-bas une main serrée sur la gorge.
Que rien ne soit possible était chose connue
de ceux qui inventaient des pluies
et tissaient des mots avec la torture de l’absence.
C’est pourquoi il y avait dans leurs prières
un son de mains éprises du brouillard.
(Alejandra Pizarnik)